Pour les besoins d'un site auquel je participe, j'ai lu et donné mon avis sur deux romans du même auteur. J'avoue ne pas avoir apprécier les deux de la même manière ...
Hugh Battancourt contemple avec mépris la femme qui gît à ses pieds. Capturer cette créature maléfique n’a pas été une mince affaire ! Par deux fois, elle a bien failli lui échapper. Mais il n’était pas question de laisser filer cette diablesse : Sophie Towbridge, dangereuse espionne au service de Napoléon, détient un paquet de lettres dérobées à son amant, membre du ministère de la Guerre. Si les informations qu’elles contiennent tombaient aux mains des Français, les conséquences seraient catastrophiques. Il faut coûte que coûte récupérer ces missives... Si c’est une question d’argent, je suis prête à payer le prix pour que vous me libériez . Hugh sursaute en entendant la voix de sa prisonnière. D’un geste, celle-ci écarte la masse de cheveux noirs qui cachait son visage et Hugh se retrouve devant la femme la plus étourdissante qu’il ait jamais rencontrée...
Il a une mission à remplir, elle est au mauvais endroit au mauvais moment. De leur rencontre va naître une passion que rien, pas même le mariage de la belle, ne saura contrecarrer.
Il ne s’agit pas du résumé du dernier Anne Stuart mais du second tome de la trilogie des soeurs Bannings de Karen Robards. Nous y retrouvons Claire, la benjamine de la famille qui, grâce à la dot que lui a fourni son beau-frère, a fait un mariage qu’elle croyait d’amour. Mais les illusions envolées, cette union s’avère être un désastre et laisse notre héroïne amère vis à vis des relations amoureuses. Par un concours de circonstances, elle se retrouve prisonnière de Hugh Battancourt, officier de l’armée anglaise qui la croit une espionne à la solde de l’ennemi français. Entre eux, l’attirance est immédiate et irrévocable.
Echaudée par ma précédente lecture, je dois avouer avoir commencé ce livre à contre coeur. Plus d’une fois, les grosses ficelles dont usait l’auteur m’ont fait lever les yeux au ciel et puis, nos héros réunis, le charme a opéré.
L’intrigue sur fond de guerre napoléonienne n’est pas originale puisque basée sur un quiproquo et suivie de trahison familiale et pécunière.De fait, l’intérêt principal de ce roman tient dans la relation entre Claire et Hugh. Ils sont victimes d’un coup de foudre et ne tergiversent pas, ils succombent à leur passion. Pour les âmes sensibles (je plaisante bien évidemment !), je tiens à préciser qu’ils sont persuadés qu’ils ne se reverront jamais et veulent goûter à une unique nuit d’amour .
C’est une originalité que l’on rencontre assez peu dans les romans historiques où bien souvent une jeune vierge découvre le plaisir dans les bras du héros seul et unique homme de sa vie. Ici, nous avons une jeune mariée qui ne connait de l’amour physique que ce qu’elle appelle le devoir conjugual. Son amant va, alors, l’éveiller à la sensualité. Les caractères de chacun concordent alors parfaitement avec les moeurs de l’époque. La jeune femme éduquée dans le respect des liens sacrés du mariage va donc vivre sous le poids du remords, la peur du scandale. Je pourrais encore en dire beaucoup sur la façon dont chacun assumera ses actes mais je ne ferais rien d’autre que raconter l’histoire. Je ne peux que vous conseiller de la lire.
Maintenant, je ne sais si c’est le fait de l’auteur ou de coupes sauvages de l’éditeur français, mais le roman méritait une centaine de pages de plus (il n’en fait que 280) afin d’explorer d’avantage les affres de la passion unissant nos deux personnages principaux.
Il ne s’agit pas du résumé du dernier Anne Stuart mais du second tome de la trilogie des soeurs Bannings de Karen Robards. Nous y retrouvons Claire, la benjamine de la famille qui, grâce à la dot que lui a fourni son beau-frère, a fait un mariage qu’elle croyait d’amour. Mais les illusions envolées, cette union s’avère être un désastre et laisse notre héroïne amère vis à vis des relations amoureuses. Par un concours de circonstances, elle se retrouve prisonnière de Hugh Battancourt, officier de l’armée anglaise qui la croit une espionne à la solde de l’ennemi français. Entre eux, l’attirance est immédiate et irrévocable.
Echaudée par ma précédente lecture, je dois avouer avoir commencé ce livre à contre coeur. Plus d’une fois, les grosses ficelles dont usait l’auteur m’ont fait lever les yeux au ciel et puis, nos héros réunis, le charme a opéré.
L’intrigue sur fond de guerre napoléonienne n’est pas originale puisque basée sur un quiproquo et suivie de trahison familiale et pécunière.De fait, l’intérêt principal de ce roman tient dans la relation entre Claire et Hugh. Ils sont victimes d’un coup de foudre et ne tergiversent pas, ils succombent à leur passion. Pour les âmes sensibles (je plaisante bien évidemment !), je tiens à préciser qu’ils sont persuadés qu’ils ne se reverront jamais et veulent goûter à une unique nuit d’amour .
C’est une originalité que l’on rencontre assez peu dans les romans historiques où bien souvent une jeune vierge découvre le plaisir dans les bras du héros seul et unique homme de sa vie. Ici, nous avons une jeune mariée qui ne connait de l’amour physique que ce qu’elle appelle le devoir conjugual. Son amant va, alors, l’éveiller à la sensualité. Les caractères de chacun concordent alors parfaitement avec les moeurs de l’époque. La jeune femme éduquée dans le respect des liens sacrés du mariage va donc vivre sous le poids du remords, la peur du scandale. Je pourrais encore en dire beaucoup sur la façon dont chacun assumera ses actes mais je ne ferais rien d’autre que raconter l’histoire. Je ne peux que vous conseiller de la lire.
Maintenant, je ne sais si c’est le fait de l’auteur ou de coupes sauvages de l’éditeur français, mais le roman méritait une centaine de pages de plus (il n’en fait que 280) afin d’explorer d’avantage les affres de la passion unissant nos deux personnages principaux.
8 commentaires:
Tu m'a donné envie comme rarement ma belle, on sent ton engouement pour l'histoire qui unie les deux protagonistes .....
Encore des Frais grrrr tu exagères ...
Hihi, je te le pretrais bien mais bon il est en vf et pas à moi alors ... Tu me diras s'il est aussi hot en VO ( ce dont je ne doute pas )
oui et je doute que la personne qui te l'a preter me le prete aussi :) tant pis je vais me delester de quelques euros ....
Ohh en vo et d'occas y'a moyen de l'avoir pas chére non??
si je suppose. T'inquiète je vais me débrouiller :)
Ok d'ac, tiens moi au courant ;)
trouvé pour 1 centimes d'euros sur amazon :)
Je te l'avais dis!!
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