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mardi 9 juin 2009

Spooks : Le MI5 arrive sur Canal+

Petit avis donné pour Onirik.net ... Vous verrez, je ne swoone pas sur Riri



Le MI-5, aussi surnommé « spooks », n’est autre que le service secret britannique fondé pour protéger la sécurité nationale des menaces intérieures. Leurs missions : combattre le crime organisé, démanteler les trafics d’armes et autres réseaux terroristes...

Voici enfin venue l’heure de la diffusion française de la septième saison de MI5. On nous avait promis, plus de rythme, plus d’action et des disparitions tragiques et bien... tout y est !

Sur fond de rivalité anglo-russe, nous voyons nos espions se débattre contre les politiques, les terroristes et autre menaces en tout genre. Mais cette année, si chaque épisode amène son intrigue, la saison est construite autours d’un fil rouge : une taupe a infiltré le MI5 et il appartient à Harry Pierce de la débusquer.

Cette septième saison est, en effet, celle d’Harry Pierce, l’officier supérieur du MI5. Longtemps cantonné à un second rôle, il prend ici de l’ampleur, aidé par un Peter Firth dont l’interprétation est magistrale. Il nous offre un Harry fidèle à lui-même, compatissant et proche de ses hommes mais dévoile un autre visage, plus grave, mystérieux et donc dangereux. Pour autant le reste de l’équipe n’est pas mis de côté. Certains s’en vont, d’autres reviennent... C’est ainsi que nous voyons réapparaitre Roz Meyer, nommée nouveau chef de section mais aussi et surtout Lucas North.



Lucas, nous ne le connaissons pas. Disciple de Harry, il était considéré comme un des meilleurs, mais il vient de passer huit ans dans une prison russe, et en revient détruit ? Le doute plane. Le personnage est interprété par un Richard Armitage très amaigri pour le rôle et recouvert de tatouages – clin d’oeil au film Eastern promises de Cronenberg - qui nous montre encore un nouvel aspect de son talent. Il était temps...

Certains ont déploré la perte d’une partie de l’identité de la série. En effet, l’accent est moins mis sur les états d’âmes de nos héros. Le retour de Lucas serait même traité avec un peu trop de facilité. Mais après quatre années à suivre les crises existentielles d’Adam Carter, la série avait besoin de se renouveler. Elle y parvient avec brio.

Encensée par la critique, elle a reçu une nomination aux BAFTA. Les acteurs Peter Firth et Richard Armitage sont d’ailleurs nommé au Festival de Monaco dans la catégorie « Meilleur acteur ». Forte du succès d’audience, la BBC a commandé une huitième saison dont le tournage est en cours. Nous aurons enfin les réponses aux questions laissées par le dernier épisode…

Une série à ne pas rater sur Canal +, à partir du 21 juin à 20h45.

lundi 8 juin 2009

A la chasse aux Demons

Demons ITV 2008

Bon disons le franchement et de suite, ce n’est pas de la grande télé mais lorsqu’on sait que chaque samedi, j’attends religieusement Robin Hood, on a plus de doute sur mes « mauvais »goûts télévisuelles. Pis j’avoue, j’aime bien regarder des trucs qui ne me donnent pas l’impression d’être idiote … Parce que je n’ai pas le cerveau d’Einstein et pas de prix Nobel donc certaines séries sont trop compliquées pour ma petite tête … Dimanche, j’ai mis ma petite cervelle en mode off et je me suis faite la saison 1(je ne sais même pas s’il y en aura 2) de Demons (m’enfin me reste encore un épisode à voir).



Luke Rutherford thought he was just an ordinary teenager – then he found out he's the the last in the Van Helsing line and heir to a demon-smiting throne…

Bien sûr la série lorgne sur Buffy (mais en façon inverse) imaginez, un ado qui se retrouve un jour avec sur les épaules le poids d’une destinée : il est le dernier Van Helsing, descendant d’une longue lignée de chasseur de démons. Il est, en cela aidé par son parrain,Galvin, un américain (Phiphi pour les habituées de l'Auberge)

NB : Luke est anglais, son protecteur, américain, Buffy est américaine, son protecteur, anglais. Mais les points communs ne s’arrêtent pas là, Buffy a Angel, un vampire prêt à l’aider, Luke a Mina … une vampire …














Malheureusement, Demons n’a pas la qualité de Buffy ni le charisme de sa conseur. La série manque de rythme, les méchants sont plus risibles qu’effrayants … Et certaines ficelles sont grosses ... Ben oui, alors qu'elle se trouve à proximité d'une bombe à 15 min de l'explosion, l'une des filles choisit de désarmorcer l'explosif...


Bon je ne sais pas si c'est parce que j'étais en mode pré-gastro mais malgré le manque de rythme, les scénarios peu folichons et le côté abracadabrantesque, j'ai passé un bon moment. Puis autant vous le dire, c'était aussi l'occasion de voir Holliday Grainger (la dame de ma ban du blog, vous savez celle qui est dans les bras de Guyyyy, pardon c'était mes 5 sec groupies) dans un rôle moderne.
Elle joue ici le rôle de Ruby, la meilleure amie de Luke, secrétement amoureuse, qui bien qu'au départ se voit repoussée par Galvin et Mina, devient vite un atout indispensable à l'équipe! J'ai beaucoup aimé, elle déborde de peps et de fraicheur!! Et comme je m'amuse avec photofiltre... (ouiais je sais je n'ai pas votre talent)
ps : je ne sais pas si c'est à cause de ma fièvre mais je n'arrive pas à mettre mon msg en page, désolée...

mardi 2 juin 2009

Entre découverte et Colère

Pour bien commencer la semaine, je vais parler de ma découverte du WE: Merlin
Tout le monde connaît les légendes Arthuriennes. Le mythe du roi Arthur et ses chevaliers de la table ronde n’a plus aucun secret pour nous mais il en est un qui garde tous ses mystères : Merlin, l’enchanteur de la forêt de Brocéliande souvent présenté comme un vieillard. Tel n’est pas le cas ici où la genèse de la formidable épopée d’Arthur et Merlin est réécrite.


Tout commence par l’arrivée de Merlin, un jeune garçon aux dons particuliers, dans un Camelot où la magie a été bannie vingt années plus tôt par le roi Uther. Le jeune garçon se retrouve vite confronté à Arthur avec lequel la rencontre se passe très mal. Pourtant, Merlin découvrira très vite que sa destinée est liée à celle du jeune prince. Tous deux ne sont que les deux faces d’une même pièce. Et voici tout l’intérêt de la série, voir comment ces jeunes garçons que tous opposent, vont devenir le duo héroïque qui réunira le royaume d’Angleterre. Autours d’eux gravitent les personnages secondaires, du méchant (pas si méchant en fait) roi Uther (le Giles de Buffy …Anthony Head) à la princesse Morgan (la fée Morgan qui n’a pas encore découvert ses pouvoirs et qui pour l’instant est un des perso auquel je m’attache le moins) et Guenièvre (où comment la future reine d’Angleterre est reléguée au rang de domestique) …





Bref, j’ai commencé à regardé la série poussée par le lobbying de Filipa et Ekat mais aussi parce que je savais que la jolie poupée (coup de cœur de Robin Hood) y jouait et j’ai été happée par les intrigues. On compare souvent RH et Merlin, deux séries médiévales et je dois admettre que si toutes deux mettent à mal les légendes dont elles sont tirées, Merlin est nettement un cran au dessus de RH et ce grâce à des scénarios mieux construits (certes tout aussi prévisible mais ne reprenant pas perpétuellement le même schéma), des décors somptueux (Camelot est loin du décor carton pâte de Nottingham) … Par contre, ils n’ont pas Riri ….

Ca, c’était pour la transition car parlant de Riri, je ne digère pas encore ce qu’il s’est passé sur The Inn ce we … Passe encore qu’une certaine personne ait décidé de « s’habiller » comme moi, au point où moi-même, j’ai cru avoir posté des avis qui n’étaient pas les miens … Mais le coup du je-pointe-du-doigt-la-connerie-que-Gaëlle-aussi-a-faite-pour-ne-pas-me-faire-disputer-par-l’admin me reste en travers de la gorge. Alors oui, je savais que ma ban était spoiler (mais là je vais faire ma mauvaise tête, hormis les riri-maniaques qui regardent, hein ?? Parce que j’entends plus de ricanements que de cris d’extase devant la série. Je précise mes ricanements aussi !! ) Et oui, je l’ai enlevé, non pas lundi matin mais dés le dimanche après-midi, non pas à cause du spoiler mais parce que j’aime être un exemplaire unique … Par contre, ce comportement me débecte et j’ai fortement pensé tout lâcher mais bon pour une personne, cela serait bête parce que j’ai mes dinga-ling copines …



Pis pour me venger la voilà ma ban (façon elle va bientôt devenir le header du blog alors …) et que je sache moi, elle est encore vivante à ce moment précis (oui encore de la mauvaise foi …)










lundi 4 mai 2009

Parfait !!!



Il était tout simplement parfait !! Qui ?? Ben Toby bien sûr !!

Bon je n’ai pas l’habitude de commenter les épisodes de Robin Hood un par un, vous savez ce que je pense en général de la série (mais je la regarde quand même, dois-je comprendre avoir un certain dérèglement psychologique ou sont-ce juste mes hormones de fille qui parlent ??) mais ici, je ne pouvais pas passer à côté de la première apparition de Long Live Prince John !!
Et cerise sur le gâteau, sa première scène, il la partage avec Riri (Sur lequel je reviendrai plus tard)


Bref que dire de ce prince John, il est tout simplement excellentissime ! Cruel, mégalomane, paranoïaque (euh à raison quand même), avide de pouvoir et d’amour !!! Oui oui d’amour, sa première phrase : « Do you love me Gisborne ? » Ce à quoi le grand tout noir s’empresse de dire oui, parce qu’il craint pour sa tête (sa si jolie tête).


Dans un premier temps, Toby nous fait du prince, une sorte de grande folle maniérée mais ce qui est surprenant, c’est qu’à la manière d’un David Tennant, il parvient en un claquement de doigt à nous montrer le visage cruel de PJ !


Manipulateur, il dresse Gisborne et le shérif l’un contre l’autre, ce qui donne le point de départs de quelques scènes très rigolotes !
Tiens parlant de Gisborne, outre le fait que Richard Armitage ait une scène torse nu (mais dans le noir, on ne voit quasi rien), l’adjoint du shérif prend de plus en plus de place dans l’intrigue et apparaît à l’écran bien plus souvent que Robin … Est-ce un signe pour la 4éme saison ? Wait and see Riri est le seul à ne pas avoir parlé de son avenir dans la série … (la photo est quand même plus swoonante que la dernière hein??)



Je vais finir ce petit billet consacré à Tobyyyyy par un autre message: Joyeux Anniversaire Mademoisele V!! Et à défaut du vrai ....





lundi 27 avril 2009

Long live me ...

J'avais juré que je ne ferais pas de post swoon mais bon ... je ne suis qu'une faible chose donc ... Mais je commence par le sérieux!
La chronique d'un livre! non pas que mon avis soit intéressant mais je le donne quand même (et ce d'autant plus que ce livre est un petit concentré de bonne humeur!)


Le Bonheur sur ordonnance de Barbara Abel




Rien ne va plus dans la vie de Méline : elle explose au moindre prétexte au point d’en venir presque aux mains ! Le verdict tombe : Méline souffre d’une maladie étrange qui ne peut être combattue que par un seul remède – le bonheur. Méline doit être heureuse, sinon elle meurt.
Pas si simple quand on est mère d’une ado rebelle, d’un enfant turbulent, épouse d’un homme qui se cherche…et qu’on doit faire face aux tracas du quotidien. Méline s’interroge, s’agite et désespère : est-elle vraiment heureuse ? La quête du bonheur à tout prix est loin d’être évidente et son chemin semé d’embûches…
Atteinte d’une maladie orpheline qui influe sur son humeur, Méline est contrainte au bonheur. Il s’agit là en effet du seul remède existant. Si elle n’est pas heureuse, elle mourra. Mais avec des parents psycho-rigides, un mari qui se cherche, une ado qui découvre les émois amoureux et un petit garçon plein de vie, la mission s’avère difficile.
Qu’est ce que le bonheur ? Comment y accède-t-on ? Voilà autant de questions que nous pose ce roman et auxquelles notre héroïne devra répondre. Mais si le but a atteindre est identifié, le chemin pour y parvenir sera long et difficile pour Méline dont les crises se font de plus en plus violentes et incontrôlables. Ces crises sont pour le lecteur presque jouissives. Qui n’a en effet, jamais eu envie de dire réellement le fond de sa pensée sans se soucier de la politesse, de la bienséance ou tout autre règles hiérarchiques ? Mais très vite, on se rend compte que l’agréable sensation que procure le fait de tout pouvoir dire, n’est que bien peu en comparaison des ennuis qu’il créé. Petit à petit, la lecture de ce roman nous conduit à nous poser une question : Sommes-nous heureux ? Réellement heureux ?
D’un point de vue formel, on pourra être surpris par l’utilisation du présent comme temps de narration mais plongé dans les problèmes Méline, nous l’oublions très vite. Il est bon de noter aussi que les chapitres sont très courts et offrent un rythme de lecture agréable.
Au final, un bon moment de lecture apportant sa dose de bonne humeur et de réflexion.


Bon maintenant, le swoon et Tobyyyy et un peu Riri aussi! Voilà la première apparition du Prince Jean dans Robin Hood!




Long Live lui mon dinga ling!!!!!

mardi 14 avril 2009

De bonne heure(enfin presque) et de bonne humeur ...



Ayez, j’ai fini de bouder … en fait depuis longtemps mais je n’avais pas encore pris le temps de réécrire ici…

Donc que s’est-il passé depuis quelques jours …

1) J’ai reçu du super bon chocolat mais euhhh on en est vite écœurée


2) J’ai vu et revu Jane Eyre … Ahh Toby … Non Rochester …Parce que en fait, avec Kaz sur le forum RA (oui nous parlons de Toby sur un forum consacré à Riri … ) bref, on se disait que même si Ruth Wilson est excellente dans la série, c’est un peu Toby qui prend tout l’espace quand même ! D’ailleurs, c’est un peu comme le livre, il s’appelle Jane Eyre mais on retient surtout Rochester (ses sautes d’humeur, son caractère ombrageux, ses farces … sa folle aussi). Et que cela soit le livre ou la série, j’ai de nouveau pleuré comme un bébé … Par contre, je ne dis pas que le perso de Jane n'est pas intéressant d'ailleurs sans Jane, il n'y aurait pas de Rochester mais bon, elle est trop parfaite, trop calme, elle ne révolte même pas ...


3) J’ai vu l’épisode spécial du DW … Que dire : Très bon épisode, on y retrouve l’humour, le fantasque(tique), la tristesse aussi et puis une prédiction qui même, si nous le savons tous(tes) nous fait froid dans le dos : His song is ending … (si je me souviens bien … ) Bref…sinon je suis certain qu’un certain méchant va faire sa réapparition, il ne peut pas être autrement. Sinon pour l’histoire, c’est du DW, j’ai beaucoup aimé les persos secondaires. Cristina aurait fait une bonne compagne mais quand on sait ce qui leur arrive… Dieu comme Donna m’a manqué avec sa verve et sa façon bien à elle de remettre le Doc en place ! J’ai bien aimé Malcom et son triple « I love you »
Je n’ai rien contre Mat Smith (je ne l’ai jamais vu jouer) mais il va avoir du boulot le coco parce que David Tennant vient encore de démontrer qu’il ne joue pas le doc, il l’est ! Et le voir parler la mouche … un petit moment de bonheur !!!

4) Ensuite que dire … je n’ai pas encore regardé RH, faut dire sans Gisborne (même si Richard est mauvais hein, mais là je lui pardonne il a su moduler sa voix, la baisser d’un ton et ça me donne des frissons) ce n’est pas pareil. Et puis j’attends l’arrivée du Prince John (Prince Jean en fr, PJ pour les intimes). On ne l’a pas encore vu mais je m’en fais tout un film, si ça se trouve, il ne sera pas bon !!! Mais bon c'est Toby alors (à moins qu'il n'y ait une malédiction comme avec Richard...euh Riri pardon) ... Oui mais si le scénario n'est pas bon ... mais il porte déjà sur sa tête que son perso est vicieux ...

5) Je n’ai plus le temps de lire ! Depuis le changement d’heure, les journées filent à une vitesse folle et je n’ai plus le temps de rien, c’est dingue !! En plus je passe plus de temps à écrire qu’à lire … D’ailleurs, vu tout ce que je fais supporter à mon héroïne, la pauvre …

6) Plus que 4 jour avant le 18 !!! Yeah !!!

jeudi 26 février 2009

Qu'est ce qu'un Spook??

Qu'est ce qu'un Spook? Un charmant espion du MI5 qui prendra les traits d'un trés séduisant gentleman britannique. Ici prenons le cas de Lucas North. (choix totalement subjectif de ma part)

Lucas est un officier qui vient de passer 8 ans dans une prison russe. Rentrée chez lui, il aurait pu demander (comme l'a fait avant lui Tom Quinn) une retraite anticipée mais Lucas a fait don de sa personne à la Patrie et à peine est-il rentré au Grid (le QG) qu'il demande à repartir en mission à son supérieur Adam Carter.

Il prend néanmoins le temps d'une petite toilette ...

(Bon allez pour le plaisir, une seconde ... )

... que le voilà prêt à l'action.

Lucas est un homme qui vit pour son travail (bon il n'a plus que ça, son épouse -la grue- a divorcé et s'est remariée pendant qu'il était en prison! Et pour couronner le tout, elle travaille maintenant pour le FSB (ancien KGB) , l'organisation gouvernementale responsable de la longue détention de Lucas)

Trés attentif. Rien de lui échappe!


Mais chaque nuit, le cauchemard revient et Lucas revit sa détention.




Seul dans cette maison qu'il n'a pas choisit, il ressent à nouveau, chaque séance de torture.







Pourtant, il reste un des meilleurs agents de sa génération et n'a pas froid aux yeux, même lorsqu'il est poursuivi par des méchants espions russes

Et ce .... Jusque mort s'en suive ....



Il n'oubliera pas cependant de s'assurer de la réussite de sa mission: Notre Spook est un homme consciencieux!

Aujourd'hui, je n'ai qu'un mot à dire: JE VEUX UN LUCAS!!! Je veux qu'avec froideur et détachement, il fasse comprendre à mon collégue qui a la facheuse habitude de me prendre pour son assistante personnelle, que MOI aussi j'ai un travail à finir! Et que par sa faute, j'ai pris un retard considérable!

NB: Je vais mettre Riri de côté un certains, il vaut mieux .... et passer à autre chose! Ekat m'a filé pleins de beaux hidalgos ! N'empêche, le fait d'avoir pris le temps de chercher les photos et les bêtises à écrire en légende a quand même calmé mes envies de meurtre ...

dimanche 22 février 2009

En passant ....

On en sait un peu plus sur la 3éme saison de RH maintenant mais n'ayant pas envie de raconter l'histoire de revanche de Robin et de la culpabilité de Guy (en même, si elle ne l'avait pas manipulé la Marianne, elle serait encore là! Non mais, moi j'aurais pas fais ma mijorée, entre le Bad Guy (jeux de mot pourri) et le Robin aussi charismatique qu'une moule ... j'aurais vite fais mon choix) !! Bref, voici le nouveau look de Guy Of Guisborne, moins "mad-maxien", plus toruré! Remarquez les cernes sous ses yeux... J'ai les même !


Dis M'sieur moi aussi, je peux avoir un massage du crâne?? Ca a le don de m'endormir et j'ai besoin de dormir!!!!

Maintenant, en route pour les Oscars!! Deuxième billet avec Hugh Jackman à la suite, on va croire que je suis retombée dans la "Jackmanite aigue" mais non, je ne fais qu'apprécier et relayer l'info ! :D


lundi 2 février 2009

Spooks - Lucas North

Je sais, je sais, on le voit partout à L'auberge, mais je cherchais comment illustrer mon billet sur Spooks et puis j'ai trouvé ceci ...



Ceci dit le billet n'est pas encore fait ...Je ne devrais pas chercher les photos avant le texte.

mardi 27 janvier 2009

Enfin !!! Il l’a fait !!

Qui a fait quoi ??



Richard Armitage a réussi à me prouver qu’il pouvait faire passer de l’émotion sur son joli visage sans avoir à regarder ses pieds. Ben oui, il faut le reconnaître que dans la case émotion, il n’est pas très fort le Riri … L’une des rares fois, où on voit ses grands yeux bleus se remplir de larmes (bon j’exagère …) où on voit son regard se voiler, c’est lors de son légendaire « Look back at me » dans North and South mais après ??

Dans Robin Hood, il est juste grotesque (je précise la saison 1, je n’ai toujours pas la saison 2). Le voir cacher son visage dans ses mains ou regarder ses chaussures pour faire croire qu’il est touché ou attristé, avait eu pour effet de me faire bien rigoler… J’en était venu à la conclusion qu’il n’était pas réellement bon dans le registre émotion … et puis … hier, je me suis enfin décidé à regarder la fin de Spooks et dans l’épisode 6, il est tout simplement parfait !! Je l’aurais bien serré dans mes bras pour lui faire un gros calinou moi !! (Je reparlerai de Spooks plus tard)



Mais bon, dans ce genre, le champion reste tout de même David Tennant ! Combien de litres de larmes, il a pu me faire verser rien que dans le Doctor Who



Bref, sinon, rayon lecture, je me suis remise au « Sexe, Diamant et plus si affinités », et je retire ce que j’ai dit, il n’est pas si pire que ça (je sais on ne peut pas être plus pire). Je vais donc attendre de l’avoir fini pour en dire d’avantage…



Ps : Victoire, je n’ai pas parlé de Hugh Jackman dans ce billet, signe que la « jackmanite aigue » arrive à son terme et qu’il va falloir qu’on parle Pando … T’as peur là ??

jeudi 15 janvier 2009

Comme tout à une fin …

… Fini les crises de swoon causés par les Sieurs Jackman, Stephens ou pire parce que il fait de la résistante Armitage … Maintenant je reviens aux bouquins !!!!!

Ce n’est pas un secret, je bosse/ lis pour Onirk et Bluemoon, essentiellement de la romance, c’est vrai, mais il n’empêche que même noyée (parfois) sous un nombre incalculables d’histoires mièvres et déjà-vu des centaines de fois (ce n’est pas parce que je lis de la romance que je ne suis pas capable de reconnaître que parfois, ça dégouline de bons sentiments jusqu’à l’écœurement !), il m’arrive de voir tomber sur des récits qui me scotchent à mon canapé !! (Et oui, les pépites existent et Dieu merci, les éditeurs français commencent à les trouver et donc les publier) . Je précise,juste le canapé, hein !! Parce que chez Ikéa, ils sont en rupture de stock du beau fauteuil vu dans la catalogue alors, je me retrouve avec prés de 200€ reçus pour mon noël que je ne peux pas dépenser ! Mon Dieu que cela est frustrant !! D’ailleurs samedi, mon amie Tisha a bien cru que j’allais avaler la pauvre vendeuse !

Bref revenons à nos moutons soit la romance ! Il y a quelques semaines, j’ai reçu mon colis de livres. J’attrape un black-rose au titre évocateur de Jamais je ne t’oublierai (bon j’explique un black-rose c’est un double romantique-suspens édité par Harlequin). C’est mignon comme titre hein ?? En vo cela donne Midnight Remembered.

L’avis posté dans les deux sites :

Résumé de l’éditeur :
Son allure féline, sa cicatrice au visage, sa gestuelle Pas de doute : cette silhouette familière était bien celle de Joshua Stone. En retrouvant, en chair et en os, celui qu’elle croyait mort depuis des années, Paige Daniels est abasourdie. Comment Josh, avec qui elle a partagé une merveilleuse nuit de passion, trois ans plus tôt, alors qu’ils étaient tous deux en mission, a-t-il pu disparaître ainsi, sans jamais plus lui donner de nouvelles ? Résolue à obtenir des explications, Paige décide de l’aborder pour s’apercevoir avec stupeur qu’il est amnésique et ne se souvient plus d’elle. Elle, en revanche, n’a rien oublié, et comprend qu’elle est désormais la seule susceptible de l’aider à faire toute la lumière sur son passé

Jamais je ne t’oublierai de Gayle Wilson est un roman qui nous happe dès les premières pages. Nous sommes plongées au cœur d’une guerre civile dans un obscur pays de l’est, dans une cave où se cachent un duo d’espions chargés de protéger et surtout de ramener un colis ne devant pas tomber entre de mauvaises mains. Il fait froid, le danger rôde et l’on ressent la tension ambiante. Quand après avoir faillit être découverts, nos deux agents succombent à l’attirance qu’ils ont l’un pour l’autre, c’est lors d’une étreinte sans aucun romantisme. On tourne alors la page pour en savoir plus et l’on se retrouve trois ans plus tard. L’héroïne, de retour aux USA, est de nouveau soumise à un débriefing. On lui demande une nouvelle fois ce qu’il s’est passé ce soir là, pourquoi, son partenaire a disparu. Troublée par certains détails de cet entretien, elle entreprend quelques recherches et découvre alors que cet homme disparu est aux USA mais qu’il lui sera d’aucune utilité. Lorsqu’elle le retrouve, il ne la reconnaît pas. Pire, il a oublié son propre nom. Le mystère de sa disparition reste entier.
Commence alors, une chasse aux souvenirs, à l’homme aussi. Car en effet, que lui est-il arrivé ? Pourquoi avoir disparu ? Cet homme que l’on disait être l’un des meilleurs agents de la CIA aurait-il trahi son pays et vendu l’arme qu’il transportait au plus offrant ? Dans cette quête de la vérité, nos deux héros doivent faire face au danger que représentent le camp ennemi mais aussi et surtout leur propre camp. Ne faire confiance à personne tel est le crédo de nos héros. En pleine tourmente, ils vont de nouveau apprendre à se fier complètement l’un à l’autre et ainsi tomber amoureux. Et si leurs sentiments sont sincères, aucune mièvrerie dans ce récit, la personnalité des personnages ne le permettant pas.
Enfin, si le roman est une réussite, on peut déplorer le fait qu’il soit le dernier tome d’une série consacrée à toute une équipe d’espions, parue sous le titre de MEN OF MYSTERY.

Donc je récapitule, une histoire prenante et pas trop alambiquée … Bon si quand même mais pas plus que dans une certaine série ! En fait, ça ne rappelle rien aux pensionnaires de l’Auberge ? Un espion qui réapparait après quelques années ?? Et si je vous dis (attention SPOILER) que s’il a disparu, c’est qu’il était prisonnier des … russes !! Et là vlan, finito la description donnée par l’auteur, un seul visage m’est venu à l’esprit : Lucas North ! Quand je disais que le Riri faisait de la résistance !! C’est comme la mauvaise graine, on ne s’en débarrasse jamais !! (Mais bon je n’ai jamais dit que c’est ce que je désirais hein !!)
Donc comme je trouve qu’il est assez sous-représenté ici voici mon espion préféré, mon chouchou toutes catégories … Enfin à l’exception de mon viking tatoué et nu dans les bains publics de Londres ... Ou que le 10éme Docteur aux lunettes craquantes … bref on va dire mon chouchou toutes catégories « espionnage » confondues … Mesdames, Melle, et Messieurs : Lucas North, officier au MI5

SPOILERS!! Je ne sais pas si vous avez remarqué ni même si vous avez vu la série mais le pauvre homme revient d'un emprisonement de 8 ans, apprends que sa femme a pendant ce laps de temps divorcé, s'est remariée, a fait un enfant, est passée à l'ennemi et PAS une fois en 8 épisodes, il n'a une femme dans les bras ... Ah si une prostituée russe qui est en fait un agent double. Alors, moi je veux bien postuler pour jouer le rôle de la femme de Lucas ....

lundi 5 janvier 2009

Robin Hood 2006



Après 5 ans de croisades, Robin de Locksley rentre enfin chez lui pour découvrir avec effroi que les tyrannique Shérif de Nothingham et Guy de Gisbourne y règnent en maîtres absolus. Pour la population, tout n’est que désolation et misère... Afin de rétablir un ordre plus juste, Robin et ses compagnons Will Scarlett, Allan A Dale et Petit Jean investissent la forêt de Sherwood et deviennent des hors-la-loi... La légende de Robin des Bois est née.


Nul n’ignore la légende de Robin des bois, ce gentilhomme saxon contraint de vivre en hors la loi au sein de la forêt de Sherwood, détroussant les riches pour donner aux pauvres. Nombres d’adaptation ont été faites, dont certaines des plus connues sont « les aventures de Robin des bois » de Michael Curtiz dans lequel Errol Flynn enfile les collants verts du célèbre archer en 1938. En 1973, c’est au tour des studios Disney de mettre Robin à l’honneur. Enfin, Kevin Costner devient le « prince des voleurs » en 1991. A noter que Mel Brooks en a fait une parodie dans « Sacré Robin des bois » en 1993.



En 2006 c’est àla BBC que revient de revisiter le mythe. Robin apparaît plus jeune, plus moderne aussi et prend les traits de Jonas Amstrong. La série est un succès et une troisième saison est sera diffusée au printemps 2009.



Disons le de suite, il a du bon et du moins bon, dans cette nouvelle adaptation. Si on prend cette série comme un divertissement, on prendra alors plaisir à suivre les tribulations des brigands de Sherwood. Si on est un puriste et bien … On passe son chemin. En effet, on peut lui reprocher un certains nombres de maladresses louchant fortement du côté de l’anachronisme tant aussi bien au niveau des costumes que du caractère de certains personnages et plus précisément de la jolie Marianne qui sous les traits de la très jeune Lucy Griffith devient une combattante maniant l’arc et l’épée avec dextérité. Ce personnage sera néanmoins au cœur d’une intrigue fort plaisante qui ne prendra fin qu’au terme de la seconde saison. (Il y a une scéne dans la seconde saison qui a fait tomber les anglaises en pamoison et j'avoue avoir bien bavé aussi)
A l’intrigue originale, d’autres sont ajoutées, format série oblige. Un grand parallèle est ainsi fait entre la situation actuelle entre l’Orient et l’Occident et les Croisades de Richard Cœur de Lion.



Niveau casting, force est de constater qu’une fois encore Robin fait pâle figure face au Shériff de Nottigham superbement interprété par Keith Allen dont l’humour grinçant est un régal. Il est secondé par un Guy de Guisborne dont les débuts font craindre le pire tant le jeu de Richard Armitage semble forcé mais qui heureusement s’améliore au fur et à mesure où son personnage prend de l’ampleur dans l’intrigue. Je trouve par ailleurs que c'est une constante chez cet acteur qui peut être excellent comme dans North and south ou Spooks ou décevant comme ici ou the Golden Hour.



Du côté des gentils, la joyeuse bande est nettement rajeunie, Jonas Amstrong (Robin) et Lucy Griffith (Marianne) ayant respectivement 25 et 19 ans au début de l’aventure Robin Hood. Si le couple fonctionne bien, ils apparaissent un peu fades en comparaison de leurs pendants « démoniaques ». Mais plus que de nos héros, c’est de Much (Sam Troughton) que l’on s’attache le plus. Fidèle serviteur de Robin, il est l’atout humoristique et tendresse de la série.
Au final, la mayonnaise prend et la série se regarde sans déplaisir tant qu’on la considère pour ce qu’elle est : un divertissement familial.

jeudi 27 novembre 2008

Clara Sheller : trois ans d’attentes pour une déception



Après moult péripéties (il n’y a que la France pour ne pas être capable de garder les comédiens d’une série à succès ou de ne faire travailler qu’un seul scénariste ayant la vitesse d’écriture d’un escargot asthmatique), la nouvelle saison est enfin arrivée. Partout, on n’entendait parler que de cela : la nouvelle Clara était encore meilleure que l’ancienne (je parle de l’histoire, je reviendrai plus tard sur l’actrice), plus mûre, plus choc… Moui... Clara Sheller, c’est comme la chick-lit, vachement prometteur la première fois et n’importe quoi au final.



Comme beaucoup, j’avais été attendrie par cette jeune femme tout juste sortie de l’adolescence qui se cherchait et cherchait le grand amour. La saison 1 nous avait montré une lente évolution chez Clara, la faisant devenir peu à peu plus femme, moins égoïste et plus à l’écoute des personnes autour d’elle (puisque je le rappelle dans le 6e épisode, elle laissait partir seul l’homme qu’elle aimait au Japon par amitié pour JP à qui elle l’avait piqué. Pas facile la vie de Clara Sheller !). Bref, on la sentait en bonne voie, moins fofolle.



Et patatras, cette seconde saison nous la montre encore plus foldingue, se comportant, à 33 ans comme une réelle ado attardée, incapable d’apprécier la vie qu’elle mène. Mademoiselle en veut toujours plus à l’instar de ces héroïnes de chick-lit qui passent leur temps à faire n’importe quoi pour se plaindre que leur vie est un désastre. Mais s’il n’y avait qu’elle …



Ce pauvre JP, qui nous avez attendrit dans la première saison par son réalisme d’homo pas trop bien dans ses baskets et dont le rêve était (lui aussi) de trouver l’homme de sa vie, mais sans réellement savoir comment faire son coming-out, a totalement régressé. Bon il faut avouer qu’il a ses raisons : il a perdu l’homme qu’il aimait au profit de sa meilleure amie et le couple vit dans l’appartement en dessous de chez lui. Reste Gilles, le plus mûre de la bande. Plus exploité que lors de la première saison, il n’en reste pas moins mystérieux bien qu’on le découvre peu à peu. Il est le seul à avoir évolué dans le bon sens.



Quant au casting me direz-vous ? C’est une déception ! Zoé Felix n’a pas le charme de Mélanie Doutey qui pour moi n’incarnait pas Clara, elle était Clara. Patrick Mille apparait beaucoup moins crédible et touchant que Diefenthal. Leur duo fonctionne moins bien que le précédent que l’on sentait soudé et très attaché. Leur complicité ne saute plus aux yeux. François Vincentelli bien qu’attendrissant, n’est pas Thierry Neuvic (c’est la seule chose qu’on peut lui reprocher).
Bref, cette saison 2 était la saison de la maturité... On en parle beaucoup mais les actes ne sont pas là. Je m’attendais à autres choses, à voir une Clara moins caricaturale.

mercredi 26 novembre 2008

North and South





Margaret Hale, fille de pasteur, a toujours vécu à Helstone, petit paradis sur terre aux yeux de cette héroïne, l’image d’un Sud de l’Angleterre paisible, rural et coloré. Lorsque son père décide de quitter l’Eglise, son monde s’écroule : la famille Hale quitte son presbytère pour s’installer dans le nord du pays, à Milton, ville-symbole de l’industrialisation anglaise, dominée par l’industrie cotonnière. Le choc est brutal pour notre héroïne : une ville oppressante, grise, théâtre de luttes sociales entre ouvriers et patrons. Brutale l’est tout autant sa rencontre avec John Thornton, jeune patron d’une filature de coton, qui parfait sa culture auprès de Mr Hale, devenu enseignant pour subvenir aux besoins de sa famille. La conscience sociale de Margaret s’éveillera à travers les liens tissés auprès notamment de Nicolas Higgins et de sa fille Bessy, ouvriers dans les filatures, et à travers ses rapports conflictuels avec Thornton. La jeune femme devra apprendre à s’adapter à sa nouvelle vie, à lutter contre ses préjugés à l’égard de cette ville enfumée et de ses habitants et à relativiser l’image idéale d’un Sud qu’elle s’est forgé. (1)(2)

Comme bien souvent, la BBC rend une copie parfaite ou presque avec cette adaptation du classique d’Elisabeth Gaskell avec Daniela Denby-Ashe, Richard Armitage et Sinead Cusack. Nous y suivons Margaret Hale, une jeune fille du sud s’intallant à Milton, une ville manufacturière. Le choc est terrible pour elle, mais trés vite, elle se lie d’amitié avec Nicolas Higgins et sa fille Bessy, ouvriers dans les filatures tandis que dans le même temps son père noue des liens avec John Thorton, un des entrepreneurs de la ville. Margaret se retrouve alors prise entre deux mondes qui ne se comprennent ni ne se parlent.




Souvent comparé à Orgueil et préjugé de Jane Austen, Nord et Sud montre ici une Angleterre, plus sombre, loin de la légéreté des salons de la bonne sociéte, plus réaliste aussi. Pour ce faire, tout est tourné à la lumière naturelle et le peu de soleil que l’on aperçoit est destiné à nous montrer que nous avons quitté Milton, la cité industrielle. On notera cependant la beauté de certains plans à l’instar de celui sur le cotons volants dans la salle des machines.




De prime abord, Margaret apparait désagréable, et antipathique mais lentement, et au contact de ces gens qu’au départ, elle ne comprend pas, elle apprendra à ne plus surestimer son sud natale. A contrario et malgré une entrée fracassante, John Thorton attire de suite la sympathie qui ne fait que se renforcer au fur et à mesure des épisodes Ceci, est en grande partie grâce à son interpréte, Richard Armitage mettant magnifiquement son métre 90 et ses grands aux bleus au service de son personnage. On le devinne amoureux sans être mièvre (et que dire de son "look back, look back at me" qui ne peut laisser de glace). La relation entre ces deux personnages évolue en paralléle de celle entre patron et ouvrier. Poussé par Margaret, Higgins, le syndicaliste et Thorton, le patron, vont se parler et nouer une relation de confiance que l’on sent presque amicale.

Au final, on passe un beau moment de télévision devant cette romance "sociale" qui tout en étant trés belle n’est jamais mièvre. Malheureusement et comme bien souvent, le dvd n’est pas disponible avec une version française.