vendredi 23 janvier 2009

Dur, dur …





Comment mettre à jour un blog quand on n’a rien à dire … En racontant ma vie ?? Je crois m’être suffisamment épanchée dans d’autres lieux, cela a été mieux … Deux jours … et puis c’est comme la chanson, ça s’en va et ça revient …

Je pourrais dire que j’ai vu Paperback hero mais même pas, j’ai regardé 15/20 minutes et ai éteins le dvd … Je pourrais dire que j’ai fini le « Sexe, diamant et plus si affinité » de Lauren Weisberger mais après une cinquantaine de pages, je pressens que ce livre va définitivement clore la page chick-lit pour moi (enfin en même temps hormis Bridget Jones et l’amie Emma des « Petits secrets d’Emma » de Sophie Kinsella, je n’ai jamais vraiment aimé ça) … Je pourrais aussi dire que j’ai terminé Miss Charity mais je ne l’ai même pas encore ouvert alors … Je pourrais encore dire que j’ai pu regarder la saison 2 de Robin Hood (où selon l'avis des pensionnaires de l'auberge, notre Riri est meilleur – ben oui « notre » car il parait qu’il faut que je partage … Pando, il est dans notre convention de droit de garde ??-) mais Amazon a cafouillé avec ma commande et je ne l’ai pas reçue.

Je pourrais enfin dire que j’ai enfin vu les 8 épisodes de la saison 7 de Spooks en VOSTFR mais j’ai eu la flemme de mettre les sous-titres (du coup j’en suis restée à la VOSTVO) …

En fait, je n’ai rien fait de tout cela, juste une chronique d’un livre lu, il y a trois semaines parce que mes copines de Blue me l’ont demandé ….


Un dangereux héritage de Gayle Wilson (cf le billet d'en dessous, c'est la même série)


À la mort de son père, la vie de Valerie Beaufort bascule. Héritière d’une fortune colossale, elle devient une cible privilégiée pour les envieux et les jaloux. Aussi, quand Grey Sellers lui annonce qu’en raison d’une clause testamentaire elle est tenue d’être protégée vingt-quatre heures sur vingt-quatre et qu’il est son garde du corps, Valerie sent-elle la colère la gagner. Lasse de son existence trop sage de fille de riche, blessée de n’être courtisée que pour son argent, elle devrait en plus supporter la présence d’un inconnu chez elle ? Pas question ! Aussi séduisant soit Grey, elle est déterminée à se débarrasser au plus vite de cet homme bien trop attentionné pour être honnête.

Si comme moi vous êtes adeptes des récits relevés de Gayle Wilson, où parfois l’action prend le pas sur l’émotion, vous risquez d’être, au premier abord, déçu par ce nouvel opus. On pourrait céder à l’ennui mais c’est en réalité une toute impression que laisse ce roman. Si aucune course poursuite endiablée n’est au menu de ce livre, l’auteur nous offre un face à face intéressant entre deux personnages qui n’ont pas été épargnés par la vie.
Valérie Beaufort est une jeune femme qu’un accident de cheval a laissée grièvement blessée. Souffrant depuis ce jour du genou, elle boite en cas de fatigue. Mais d’une fierté incroyable, elle refuse d’accepter l’aide qu’on pourrait lui offrir craignant de lire la pitié dans le regard des gens. A la mort de son père, elle hérite de l’entreprise familiale et d’un garde du corps que lui impose son assurance. Cet homme n’est autre que Grey Sellers, ancien agent secret, il s’est reconverti détective privé et survit plus qu’il ne vit. Hanté par l’échec de sa dernière mission, il est devenu alcoolique. Très endetté, il n’accepte de s’occuper de la sécurité de Valérie Beaufort que par nécessité. De suite, l’atmosphère est entre eux électrique. Entre attraction et répulsion, il faudra à que ces deux fortes têtes cohabitent et apprennent à se connaître.
Et puis le danger autours de Valérie s’accentue, l’intrigue s’emballe ets le rythme avec elle. C’est à ce moment que l’on se rend compte que l’auteur en nous focalisant sur ses héros, a distiller quelques indices et parfois de fausses pistes dans son récit pour arriver jusqu’au dénouement finale. Bien qu’elle ne soit pas très originale « la trame suspens » est bien maîtrisée.
Au final, on referme ce livre en ayant une nouvelle fois appris à se méfier des faux semblants.


Grosse déception cette fois-ci, aucun acteur n’est venu imagé le récit pfff …Par contre si un jour, je n'ai rien à dire, je vous parlerai de la conchonceté d'Harlequin que j'ai lu hier dont le héros était un acteur australien, beau comme un Dieu (ben tiens pour une cochonceté vaut mieux), brun aux yeux d'ambres et élu l'homme le plus sexy de l'année par le mag People!! J'ai même pas fais expres de choisir celui-là en plus!! Mais dur dur de lire des cochoncetés en imaginant celui auquel vous pensez !!! Bandes de coquines !!!!

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Tu veux dire qu'il y a pour de vrai une cochonceté de chez Harlequin avec un modèle pareil?! Mazette ^^

De Weisberger j'ai juste lu le "fameux" Diable qui s'habille en Prada et... mouais... on se lasse assez vite de la chick-lit (tiens ça me donne une idée de billets sur ceux que j'ai éventuellement - mais faudrait que je les refeuillette pour me rappeler ceux qui sont bien ou pas XD)

Je compatis pour le retard de Riri (nan celui là je te le laisse en entier pour ma part - mais tu risques d'avoir les autres sur le dos ;) ). Hauts les coeurs, ce n'est qu'une mauvaise passe *mega hug*

Essaie d'ouvrir Miss Charity, ça pourrait te remonter le moral, c'est une héroïne parfaite (enfin non, justement, elle n'est pas parfaite c'est pour ça qu'elle est très bien XD)

Gros bisous
(ps : j'ai un peu écrit un roman là non?)

Gaëlle a dit…

Yep un roman mais c'est bien aussi :)

Pour la cochonceté, je te jure que c'est vrai, je suis tombée des nues en lisant hier ... moi qui voulait me désintoxiquer, il me poursuit!!

Je tenterais Miss Charity ce we et on verra :)

Anonyme a dit…

Rhooo ben y en a qui ont peur de rien chez harlequin... c'est quoi le titre? :D Un truc pareil je veux pas passer à côté ^^

Anonyme a dit…

Je te dis ça en rentrant à la maison, parce que je n'ai pas la mémoire des titres ...