Film néo-zélandais, britannique.
Genre : Drame, Thriller
Durée : 2h 8min. Annnée de production : 2004
Paul est un photographe de guerre désabusé. Il revient en Nouvelle-Zélande, dans la région isolée de son enfance, à la mort de son père, et retrouve son passé. A sa grande surprise, il trouve également Célia, 16 ans, la fille de sa première petite amie, qui rêve de quitter sa petite ville pour découvrir le monde.
Mais leurs familles respectives et les gens de la ville voient leur amitié d'un mauvais oeil. Le jour où Célia disparait, Paul se voit de plus en plus persécuté, et devient le principal suspect. Alors que la sombre vérité remonte progressivement à la surface, Paul est obligé de se confronter à la trahison et à la tragédie familliale qu'il avait fuie dans sa jeunesse, et d'affronter les conséquences du silence et du secret qui pèsent sur sa vie d'adulte.
Je n’ai qu’une chose à dire : Attention petit bijoux !!!
J’avoue avoir voulu regarder le film pour son acteur mais un acteur ne fait pas tout, il y en a de très bons qui ont fait de très mauvais film (là je pense à Ralph Fiennes et son Chapeau melon et botte de cuir que j’ai regardé pour les même raisons). Mais tel n’est pas le cas de ce film.
In my father’s den raconte l’histoire de Paul(Macfadyen) un journaliste qui revient chez lui 17 ans après en être parti. C’est un homme désabusé, marqué par les horreurs des guerres dont il a été témoin. Sur place, il rencontre Celia une ado comme les autres ou presque. Paul se retrouve en elle. Celia a un rêve, elle veut parcourir le monde et coucher ce qu’elle ressent sur papier. Elle a une très jolie phrase au sujet de l’écrivain qu’elle aimerait devenir « je préfère être personne quelque part que quelqu’un nulle part » Bref, elle veut voir le monde sans pour autant être célèbre. Mais un drame survient et Celia disparaît. Paul devient le principal suspect.
L’originalité du film tient de sa narration. En effet, celle-ci n’est pas linéaire. On passe du présent au passé proche voir plus lointain. Si cela peut paraître un peu brouillon et surtout déstabiliser le spectateur, cette trame donne plus de puissance au côté dramatique et permet de conserver le suspens. En effet, plusieurs questions restent tout au long du film sans réponse : quel est le lien étrange qui uni Paul et Celia ? Pourquoi Paul a-t-il quitté brusquement la NZ adolescent ? Pourquoi un étrange silence s’est instauré entre son frère et lui ?? Le film monte en puissance et on arrive à la révélation finale dont je ne parlerai pas.
J’ajoute que le casting est impeccable. Macfadyen, dans une période post Spooks mais pré-Darcy, est impériale. Son jeu tout en retenu (tant décrier par la suite dans P&P) donne une dimension dramatique au personnage. Ses sourires éclairent sa relation avec Celia. Avec ce film, il a tout d’un grand. En face de lui on retrouve Emily Barclay que je ne connais pas mais qui dans le rôle de cette adolescente mal dans ses basket est bluffante. Ils sont aidés par des seconds rôles de trés bonnes qualités.
Pour finir, je vous dirais que ce film est sorti en 2004, qu’il a reçu le Hitchock d’or au festival de Dinard de la même année et … qu’il n’est toujours pas sorti en France. Pour le voir en VOSTF, il faut se procurer le dvd en Suisse… Dommage …
Paul est un photographe de guerre désabusé. Il revient en Nouvelle-Zélande, dans la région isolée de son enfance, à la mort de son père, et retrouve son passé. A sa grande surprise, il trouve également Célia, 16 ans, la fille de sa première petite amie, qui rêve de quitter sa petite ville pour découvrir le monde.
Mais leurs familles respectives et les gens de la ville voient leur amitié d'un mauvais oeil. Le jour où Célia disparait, Paul se voit de plus en plus persécuté, et devient le principal suspect. Alors que la sombre vérité remonte progressivement à la surface, Paul est obligé de se confronter à la trahison et à la tragédie familliale qu'il avait fuie dans sa jeunesse, et d'affronter les conséquences du silence et du secret qui pèsent sur sa vie d'adulte.
Je n’ai qu’une chose à dire : Attention petit bijoux !!!
J’avoue avoir voulu regarder le film pour son acteur mais un acteur ne fait pas tout, il y en a de très bons qui ont fait de très mauvais film (là je pense à Ralph Fiennes et son Chapeau melon et botte de cuir que j’ai regardé pour les même raisons). Mais tel n’est pas le cas de ce film.
In my father’s den raconte l’histoire de Paul(Macfadyen) un journaliste qui revient chez lui 17 ans après en être parti. C’est un homme désabusé, marqué par les horreurs des guerres dont il a été témoin. Sur place, il rencontre Celia une ado comme les autres ou presque. Paul se retrouve en elle. Celia a un rêve, elle veut parcourir le monde et coucher ce qu’elle ressent sur papier. Elle a une très jolie phrase au sujet de l’écrivain qu’elle aimerait devenir « je préfère être personne quelque part que quelqu’un nulle part » Bref, elle veut voir le monde sans pour autant être célèbre. Mais un drame survient et Celia disparaît. Paul devient le principal suspect.
L’originalité du film tient de sa narration. En effet, celle-ci n’est pas linéaire. On passe du présent au passé proche voir plus lointain. Si cela peut paraître un peu brouillon et surtout déstabiliser le spectateur, cette trame donne plus de puissance au côté dramatique et permet de conserver le suspens. En effet, plusieurs questions restent tout au long du film sans réponse : quel est le lien étrange qui uni Paul et Celia ? Pourquoi Paul a-t-il quitté brusquement la NZ adolescent ? Pourquoi un étrange silence s’est instauré entre son frère et lui ?? Le film monte en puissance et on arrive à la révélation finale dont je ne parlerai pas.
J’ajoute que le casting est impeccable. Macfadyen, dans une période post Spooks mais pré-Darcy, est impériale. Son jeu tout en retenu (tant décrier par la suite dans P&P) donne une dimension dramatique au personnage. Ses sourires éclairent sa relation avec Celia. Avec ce film, il a tout d’un grand. En face de lui on retrouve Emily Barclay que je ne connais pas mais qui dans le rôle de cette adolescente mal dans ses basket est bluffante. Ils sont aidés par des seconds rôles de trés bonnes qualités.
Pour finir, je vous dirais que ce film est sorti en 2004, qu’il a reçu le Hitchock d’or au festival de Dinard de la même année et … qu’il n’est toujours pas sorti en France. Pour le voir en VOSTF, il faut se procurer le dvd en Suisse… Dommage …
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